Auteur:
Christophe Bruzeau

Informatique / Audiovisuel /Téléphonie

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Le CPC 464
Le CPC 464

Année de sortie: 1984

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Spécifications techniques (Wikipedia)

Processeur

Z80A à 4 MHz. De par le gateArray les opcodes prenaient tous 4 cycles au minimum. Dès lors certains estiment la perte de performance moyenne à 15 %. Cette estimation reste très statistique mais relativement acceptée par la communauté.

Mémoire vive

64 Ko de RAM, extensibles à 512 Ko (des extensions à 4 Mo existent également, ce sont cependant des matériels non officiels).

Mémoire morte

32 Ko de ROM, extensibles à 4 Mo.

Lecteur de cassette

Le fait d'avoir un lecteur de cassette intégré n'avait rien d'anecdotique. En effet les débits depuis la cassette s'effectuaient sur le CPC 464 à 2000 bauds (2kbits) en vitesse rapide ou à 1000 bauds (1kbits) en vitesse lente.

À titre de comparaison l'interface cassette du Commodore 64 fonctionnait à 300 bauds(0.3 kbits) et son lecteur de disquette C64 délivrait seulement 3000 bauds (3kbits).

Le CPC 6128
Le CPC 6128

Année de sortie: 1986

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Utilisation: Mes débuts en informatique, un grand livre écrit en Basic était fourni avec permettant de programmer ces premiers jeux.

 

Spécifications techniques (Wikipedia)

 

L'Amstrad CPC 6128 est une évolution de l'Amstrad CPC 464 à l'intérieur de la gamme des Amstrad CPC. Il disposait du même processeur Z80 à 4 MHz, mais était doté de 128 ko de mémoire vive (dont 64 ko de mémoire paginée) au lieu de 64 ko, et de 48 ko de mémoire morte au lieu de 32 ko. En plus il disposait d'un lecteur de disquette 3 pouces dont la capacité pouvait aller jusqu'à 178 ko par face, beaucoup plus rapide que le lecteur de cassette, et intégrait un langage BASIC en mémoire morte. Il était livré avec des disquettes comportant deux versions du système d'exploitation CP/M (CP/M 2.2 et CP/M 3+) et de nombreux utilitaires.

Dérivé du CPC 464, le CPC 6128 disposait en pratique de moins de mémoire vive accessible pour l'utilisateur BASIC que son prédécesseur. D'une part les 128 ko de RAM étaient en réalité constitués de 64 ko de mémoire paginée, d'autre part son système d'exploitation chargeait le pilote du lecteur de disquettes en plus du pilote du lecteur de cassettes.

 

L'Amiga 500
L'Amiga 500

Année de sortie: 1987


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Spécifications techniques (Wikipedia)

Amiga 500
 
  • Motorola 68000 (microprocesseur 16/32 bits CISC avec 16 registres sans MMU pour la protection mémoire et la mémoire virtuelle) ;
  • système d'exploitation par défaut : WorkBench 1.2 ou 1.3 (ayant un noyau multitâche préemptif) suivant la révision ;
  • 512 Ko de Chip RAM par defaut (mémoires sonore, graphique et logicielle se partageant les mêmes espaces mémoires) ;
  • limite haute de 16 Mo de mémoire, due aux limitations du MC68000 (adressage mémoire sur 24 bits) ;
  • chipset OCS  ;
  • sortie TV 50 Hz (PAL) et 60 Hz (NTSC) par défaut suivant les versions. Mode 50/60 Hz basculant logiciellement dans les révisions suivantes ;
  • filtre passe-bas audio commutable logiciellement (la diode de l'alimentation s'éteignant (pour les modèles avec led rouge) ou baissant d'intensité quand le filtre est éteint) ;
  • partage IRQ (comme le bus PCI) ;
  • le système d'IRQ a 7 niveaux de priorité d'interruptions ;
  • pas de limite dans le nombre d'interruptions ;
  • périphériques gérés par Autoconfig, très similaire à l'ACPI. Les périphériques ne sont pas comptés ou nommés, ils donnent juste la taille et les adresses dont ils ont besoin.
L'Atari ST
L'Atari ST

Passé ensuite au PC, uniquement assemblé.